"Pour vous, B-Bus en fait plus"
J'ai redécouvert les joies du bus il y a une semaine puisque, sans bras droit en état de marche, impossible de conduire ma voiture. Il y avait bien 10 ans que je n'avais pas emprunté ce moyen de transport dans ma ville (ailleurs oui, ça m'est arrivé plus récemment). J'avais donc de très vagues repères concernant les numéros de lignes et leur trajet mais, c'était sans compter que tout a été modifié ! Les arrêts ne sont plus forcément les mêmes, soit il y en a moins, soit il y en a plus; ils ont fusionné le trajet de l'un avec celui d'un autre ou au contraire réduit de moitié certains parcours de façon à ce qu'on soit obligé de prendre un 2e bus pour arriver à destination.
Le premier jour où j'ai été obligée d'emprunter ce moyen de transport, ça a commencé par tout ce que je déteste et qui a d'ailleurs largement contribué au fait que je n'avais plus pris le bus depuis si longtemps : il m'est passé sous le nez, comme on dit. Il aurait suffit de quelques secondes de moins et hop, l'affaire était dans le sac... mais là, évidemment, je l'ai vu démarrer alors que j'étais à quelques mètres de lui. Inutile de vous dire à quel point j'ai regretté ma voiture à cet instant précis ! Ensuite, pour éviter que ce cas de figure ne se reproduise, il faut prendre un petit livret avec les horaires, en sachant que ce n'est pas une science exacte et que, parfois, monsieur l'autobus est en retard... ou pire, en avance ! Donc, même avec ces foutus horaires, on n'est sûr de rien. On doit partir 15 minutes avant pour être dans les temps, au cas où il y ait de l'avance et s'il y a du retard, on n'a plus qu'à poireauter...
Autre surprise, en dehors des trajets new tendance, ce sont les places assises dans les nouveaux bus : y'en n'a presque plus ! Les fauteuils sont bizarrement placés et, afin de rentabiliser au maximum les trajets, il y a surtout des places "debout". Pratique quand on n'a plus que le bras gauche pour s'agripper lors des démarrages fulgurants ou des arrêts fracassants de certains chauffeurs ! Ça se voit qu'ils sont bien installés, eux, dans leur siège, parce que, quand tu es debout, quelquefois, ça tient du miracle de le rester tout au long du parcours !
On va venir nous dire que pour lutter contre la pollution il faut privilégier les transports en commun... C'est sûr ! Si on veut mettre deux heures pour faire une course qu'on ferait en 20 minutes en voiture, si on a du temps à perdre, c'est la solution idéale. Oui, je sais bien que tout le monde n'a pas de voiture et je suppose même qu'on finit par s'habituer à tout ça quand on n'a pas d'autre choix (comme j'y étais habituée avant de conduire d'ailleurs) mais bon sang, qu'est-ce c'est pénible de perdre sa liberté de mouvement !
Le premier jour où j'ai été obligée d'emprunter ce moyen de transport, ça a commencé par tout ce que je déteste et qui a d'ailleurs largement contribué au fait que je n'avais plus pris le bus depuis si longtemps : il m'est passé sous le nez, comme on dit. Il aurait suffit de quelques secondes de moins et hop, l'affaire était dans le sac... mais là, évidemment, je l'ai vu démarrer alors que j'étais à quelques mètres de lui. Inutile de vous dire à quel point j'ai regretté ma voiture à cet instant précis ! Ensuite, pour éviter que ce cas de figure ne se reproduise, il faut prendre un petit livret avec les horaires, en sachant que ce n'est pas une science exacte et que, parfois, monsieur l'autobus est en retard... ou pire, en avance ! Donc, même avec ces foutus horaires, on n'est sûr de rien. On doit partir 15 minutes avant pour être dans les temps, au cas où il y ait de l'avance et s'il y a du retard, on n'a plus qu'à poireauter...
Autre surprise, en dehors des trajets new tendance, ce sont les places assises dans les nouveaux bus : y'en n'a presque plus ! Les fauteuils sont bizarrement placés et, afin de rentabiliser au maximum les trajets, il y a surtout des places "debout". Pratique quand on n'a plus que le bras gauche pour s'agripper lors des démarrages fulgurants ou des arrêts fracassants de certains chauffeurs ! Ça se voit qu'ils sont bien installés, eux, dans leur siège, parce que, quand tu es debout, quelquefois, ça tient du miracle de le rester tout au long du parcours !
On va venir nous dire que pour lutter contre la pollution il faut privilégier les transports en commun... C'est sûr ! Si on veut mettre deux heures pour faire une course qu'on ferait en 20 minutes en voiture, si on a du temps à perdre, c'est la solution idéale. Oui, je sais bien que tout le monde n'a pas de voiture et je suppose même qu'on finit par s'habituer à tout ça quand on n'a pas d'autre choix (comme j'y étais habituée avant de conduire d'ailleurs) mais bon sang, qu'est-ce c'est pénible de perdre sa liberté de mouvement !